troisième cahier, nouvelle traduction
Je lis les nouvelles de Wilhelm Schäfer surtout à voix haute avec un plaisir aussi soutenu que si je me passais une ficelle sur la langue. Hier après-midi, j’ai eu d’abord du mal à supporter Valli [1], mais lorsque je lui ai prêté Die Missgeschickten et qu’après l’avoir déjà lu un moment elle a paru être déjà suffisamment sous l’influence de l’histoire, je l’ai aimée à cause de cette influence et je lui ai donné une caresse.
[1] L’une des trois sœurs de Kafka