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Mais ce qui se passe, c’est qu’en réalité – et pour la réalité on n’a, dans la plus grande détresse, aucun regard, et c’est même dans des périodes sans danger qu’il faut commencer à développer ce regard – le terrier offre bien une sécurité considérable, mais aucunement suffisante, les soucis disparaissent-ils donc jamais à l’intérieur, ce sont d’autres soucis qui apparaissent, plus fiers, plus substantiels, souvent profondément refoulés, et qui dévorent peut-être autant que les soucis provoqués par la vie à l’extérieur.