...
20 décembre 1910 Quelle excuse ai-je donc pour ma remarque d’hier à propos de Goethe (qui est presque aussi fausse que le sentiment qu’elle décrit, car le sentiment vrai a été chassé par ma sœur) ? Aucune. Quelle excuse ai-je donc pour n’avoir rien écrit aujourd’hui ? Aucune. Et d’autant moins que mon état d’esprit n’est pas le plus mauvais. J’entends sans cesse une invocation : « Puisses-tu venir, tribunal invisible ! »