...
14 I II
Roman « Eheleute » de Beradt. Beaucoup de mauvais éléments juifs. Une entrée en scène soudaine, monotone, malicieuse de l’auteur p.e. tous étaient joyeux, mais il y en avait un qui n’était pas joyeux ou bien un monsieur Stern arrive (que nous connaissions déjà dans toute sa moelle romanesque). Il y a des choses semblables chez Hamsun, mais chez lui elles sont aussi naturelles que les nœuds dans le bois, mais ici elles tombent goutte à goutte dans l’action comme un médicament à la mode sur du sucre. – On continue à employer sans raison des tournures étranges p.e. il faisait des efforts, des efforts et encore des efforts pour les cheveux d’une femme. – Sans être mis dans une lumière nouvelle, quelques personnages sont bien portés à la scène, si bien que même des fautes à certains endroits ne nuisent pas. Personnages de second plan le plus souvent désolants.
Le roman Eheleute de Martin Beradt (1881-1949) venait de paraître aux éditions Fischer à Berlin.