...
C’est ainsi que je perds ce dimanche calme et pluvieux, je suis assis dans la chambre à coucher et j’ai la paix, mais au lieu de me décider à écrire en y épanchant tout ce que je suis comme je voulais le faire avant-hier, j’ai passé un long moment à regarder fixement mes doigts. Je crois avoir passé toute la semaine entièrement sous l’influence de Goethe, au point d’avoir épuisé toute la force procurée par cette influence et d’être devenu improductif.
Adhérer à l’association des lecteurs du Journal de Kafka
Acheter les livres papier de Franz Kafka aux éditions Œuvres ouvertes