Merci pour ces textes fulgurants, si toutefois les trous noirs fulgurent. La densité de ces pièces laisse sans voix, et parfois même idiot (je n’ai toujours pas compris pourquoi le deuxième a perdu dans la parabole, ça me rappelle vaguement une blague juive mais ma mémoire bat de l’aile).
Messages
1. Franz Kafka, Devant la porte, 22 janvier 2011, 12:42, par Virginie Lou
Merci pour ces textes fulgurants, si toutefois les trous noirs fulgurent. La densité de ces pièces laisse sans voix, et parfois même idiot (je n’ai toujours pas compris pourquoi le deuxième a perdu dans la parabole, ça me rappelle vaguement une blague juive mais ma mémoire bat de l’aile).